Partant s’il vous reste quelque peu de sagesse et de pudeur, cessez de contempler les Cieux et de rechercher les Destins du monde; songez à vous et regardez à vos pieds ; c’est assez principalement pour des gens sans lettres, rudes et mal polis, s’il ne vous est pas donné de connaître les choses de la terre, à plus forte raison de discourir de celles du Ciel.