Le traducteur est forcé d’en convenir ; &, malgré l’apologie qu’il en fait, & le soin qu’il dit avoir pris, d’adoucir les endroits trop libres , il avoue qu’il nous auroit déplu, puisqu’on ne peut le traduire littéralement sans blesser la pudeur . […] A une licence qui révolte la pudeur la moins délicate, l’Arioste ajoute un fonds d’irréligion qui scandalise le lecteur le moins dévot.