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410. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

Faut-il que tout ce qui touche au Théâtre public ait pour plaire un air de débauche et de libertinage ? […] Ce n’est pas un principe général, que tous ceux qui paraissent en public soient en butte à la médisance ; c’est même un axiome outré. Il est nombre d’états qui rendent publics ceux qui les embrassent, sans les rendre moins respectables ; et si l’on se plaît volontiers à dire du mal, ce n’est que de ceux dont l’emploi ne fait pas juger le bien. […] [NDA] Les nouvelles Observations ont paru dans le Public à la fin de l’année dernière ; mais ce n’est que depuis peu de temps qu’elles sont venues à ma connaissance. […] [NDA] M.F. s’écrie dans ses Observations : « Pourquoi la représentation du même sujet dans les Collèges et sur le Théâtre public, est-il d’un côté une bonne action, et de l’autre un crime ?

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