Quand ce qu’il dit serait vrai, que prouverait l’exemple du plus abominable mortel que la terre ait porté ? […] Cependant on ne saurait rien trouver qui prouve que le Théâtre eût été souillé par les indécences qu’on se représente. […] Ce traité a toujours passé pour un des plus beaux de cet Auteur, qui était alors très Catholique, et qui outre les principes qu’il établit pour éloigner les Chrétiens des vains amusements du Théâtre, prouve encore combien l’on doit les avoir en horreur, par l’Histoire d’une femme qui fut possédée pour avoir été au Théâtre, et d’une autre qui fut sévèrement reprise en vision d’avoir été à la Comédie et qui mourut cinq jours après.