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367. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128

L’Archevêque bénit le le mariage ; le Roi détrôné, poursuivi par ses sujets, s’accomoda avec eux, & par le traité le plus honteux qui fût jamais, il reconnut Isabelle, au mépris des droits de sa propre fille. […] Charle-Quint dont la fortune fut plus éclatante que celle de Louis XIV, ne fut pas appellé Grand ; il n’est resté à Charlemagne, que comme un nom propre, & ne forme en François qu’un mot. […] Elle avoit deux vues l’une de peindre la rupture du Roi avec la Mancini, niéce de Mazarin, mariée au Connétable Colonne, l’autre de representer la violence qu’elle-même se faisoit, le frein qu’elle mettoit à son propre penchant, de peur qu’il ne devînt dangereux.

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