« les Comédies ne sont guère propres qu’à gâter la jeunesse. […] Venons à nos propres Constitutions. […] Ici nous pouvons nous prévaloir contre les Païens, de l’autorité de la seule raison humaine, et les combattre par leurs propres armes. […] Qui voudrait se choisir une situation propre à se faire tomber, ou bien nager près d’un tournant ? […] Si elles subsistaient déjà, elles s’accroissent beaucoup aux spectacles, où les aliments propres à les fortifier ne manquent jamais.