N’avez-vous jamais lu d’Histoire de Martyr qui vous ait paru propre pour le Théâtre ? […] Un Roi qui fait mourir son propre fils. […] Cependant j’ai lu depuis peu une Histoire qui me semble propre pour le Théâtre, si elle était conduite de la manière dont je l’ai vue décrite par un de mes amis. […] Vous le verriez prendre, sur le point de mourir, le parti de son Persécuteur, contre ses propres amis, qui voulaient non seulement le tirer des fers, mais encore le mettre à la place de ce Tyran. […] Je conseillerais seulement aux Auteurs qui introduisent des femmes sur le Théâtre de les faire paraître dans la modestie et la retenue qui est le propre de leur sexe.