C’est pour pourquoi on ne peut authoriser, ni justifier les danses profanes de ce tems par l’exemple de celles que rapporte l’Ecriture… Nous voyons dans l’Evangile de Saint Matthieu chap. 14. que la danse a fait perdre la vie au saint Précurseur du Fils de Dieu, & que la tête de saint Jean-Baptiste, qui pouvoit, dit saint Chrysostome, convertir tout le monde, a été le prix d’une baladine. […] le tems viendra, que ces jeunes personnes, ces libertins, ces gens du monde condamneront avec indignation contre eux-mêmes avec une espece d’horreur de tous ces profanes divertissemens, mais en sera-t’il tems ?