Mais le respect pour les Choses saintes, que les Prêtres tâchent chaque jour d’éloigner des communes ou profanes, firent que bientôt nos petits Comédiens ne jouèrent plus que des sujets fantastiques, ou même les ridicules de leurs propres Camarades ; peut-être ceux d’un Pédagogue trop sévère. […] Ces Peuples avaient des Fêtes spectaculeuses : les Prêtres les célébraient, quant à la partie religieuse ; des Musiciens, des Danseurs, quant à la partie profane.