Il le met sur le compte des Prêtres, par ordre du souverain Pontife Joad (le Pape des Juifs), et dit sans détour dans sa Préface : « Tout devait être saint dans une si sainte action, aucun profane n’y devait être employé. » Assassinat d’autant plus odieux que c’est au nom du fils, pour lui, et à ses yeux, qu’on égorge sa mère.