Lorsque l’Empereur Néron introduisit dans Rome des jeux à l’imitation de ceux de la Grèce qui se célébraient tous les cinq ans, les sentiments que les plus sages eurent de ces jeux, et de tous ceux du Théâtre, nous font voir clairement qu’ils ne les regardaient pas comme des choses appartenant à la Religion, mais comme des choses profanes, et pernicieuses « Nerone quartum, Cornelio Cosso Coss. […] Mais comme les erreurs de la Dissertation concernent maintenant la Religion Chrétienne, les Décrets des Conciles, et les sentiments des Pères de l’Eglise, j’ai cru être obligé de me servir du nom de Réfutation, pour distinguer ce qui regarde les choses de notre Religion, d’avec ce qui concerne les choses profanes.