Le second est de juger par les Confessions des fidèles du mauvais effet que les Comédies produisent dans leur cœur. […] Mais voyons si le second moyen dont vous vous êtes servi pour savoir ce qu’il pouvait y avoir de malin à la Comédie, vous a mieux réussi et a été plus capable de vous éclaircir que le premier. « Le second moyen, dites-vous page 38, est encore plus sûr, c’est de juger par les Confessions des fidèles du mauvais effet que produisent les Comédies dans leur cœur : car, ajoutez-vous, il n’est point de plus grande accusation que celle qui vient de la bouche même du coupable. […] En vérité, pouvez-vous vous vanter de savoir par la Confession que la Comédie ne produit aucun méchant effet, tant que vous n’aurez confessé que les gens dont vous nous parlez.