Cela ne justifie pas, j’en conviens, une femme qui cherche à déshonorer son époux : mais Molière a produit ce caractère par les mêmes motifs qui justifient MM. de Voltaire et de Crébillon dans les pièces de Mahomet et d’Atrée. […] Lorsqu’Oronte vient lire un Sonnet, tissu de pointes réfléchies qu’il croit des bons mots, son Sonnet doit déplaire comme la pointe du Cardinal Janson : des jeux de mots pensés et médités ne peuvent pas produire d’autre effet.