S’il veut me posséder, Auguste doit périr : Sa tête est le seul prix dont il peut m’acquérir. […] « Est-il perte à ce prix qui ne semble légère ? […] Emilie, dans Cinna, offre son cœur et sa main pour prix d’un lâche assassinat d’Auguste son bienfaiteur et son père adoptif. […] Qu’on les proscrive, et qu’on adore le théâtre, qui nous donne et nous forme des maîtresses, qu’importe à quel prix ? […] On n’y parle que de fidélité et de dévouement à son Prince, de courage pour soutenir son autorité, au prix des biens et de la vie, d’amour pour la patrie au-dessus de tous les parents, de modération, de patience dans les plus grands revers, etc.