Une des choses qui nous paraissent avoir le plus contribué à la désertion du bon goût et à l’impatronisation du mauvais, c’est le haut prix des places aux grands théâtres. […] On la voit en foule dans les salles dont le prix modéré n’interdit par l’accès. […] Ainsi le bon goût se déprave, et ce mal (résultant du surhaussement du prix des places) n’attaque pas seulement la jeunesse : on en voit atteints tous les citoyens dont la fortune a souffert.