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74. (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38

Les principes qui les guident sont uniformes, et les conséquences qu’ils en tirent sont les mêmes. […] D’après des principes si sensés, quel est mon étonnement de lire dans un Ouvrage aussi répandu que le Mercure, que Corneille, dans sa Pièce du Cid, autorise à la vérité le duel, mais « dans un Fils qui venge son Père, et qui de deux devoirs opposés choisit le plus inviolable » ! […] Mais la Morale a ses braves, ainsi que le Service Militaire, et comme lui des lâches qui en abandonnent les principes et les maximes les plus essentielles. […] Qu’eussent-ils dit, ces hommes vraiment courageux, en vous voyant excuser un usage dont vous avouez, Monsieur, la barbarie, comme une opinion inhérente au principe fondamental de la Monarchie ?

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