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3. (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48

Les gouvernements se sont en effet laissé corrompre par les prêtres, en adoptant l’immoralité politique, appelée aussi machiavélisme, comme un principe nécessaire pour gouverner. […] Le souverain qui adopterait de pareils principes n’obtiendrait jamais l’affection de ses sujets, et n’y trouverait ni gloire, ni sûreté. […] Il faut donc ne plus écouter les conseils perfides du jésuitisme, il faut donc renoncer à solliciter des lois inquisitoriales toujours odieuses et toujours basées sur un principe d’injustice. […] Il est temps qu’il proclame les principes qu’il professe lui-même, sur la ligne de démarcation qui doit exister entre l’autorité spirituelle et l’autorité temporelle. […] Ils en héritèrent les mêmes principes, et se rendirent coupables des mêmes excès et des mêmes atrocités.

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