N’est-ce point une preuve bien forte pour excuser un Chrétien que de se vouloir couvrir de l’exemple des Païens ? […] Quoiqu’ils ne soient venus que les uns après les autres, et qu’ils aient écrit en divers siècles, leurs déclarations sont si conformes, qu’on peut dire qu’ils ont tous été d’un même avis : Ce qui fait une preuve irréprochable, que les jeux de hasard doivent être bannis de la société des hommes comme des pestes, et une corruption générale des bonnes mœurs.