Qu’il avoue charitablement, s’il ne peut opérer les preuves que j’exige, qu’il a bien fait jusqu’à présent ; mais qu’étant dans la résolution de mieux faire, il veut se livrer tout entier à ses résolutions. […] Il ne doit jamais douter de l’efficacité des remèdes qu’il applique, il ne doit en un mot rien hasarder même de l’aveu du malade, qui n’est pas le maître d’exposer sa vie ni sa santé ; c’est sur des preuves évidentes et sur des expériences lumineuses qui ne lui laissent aucun doute sur le parti qu’il doit prendre, qu’il lui est permis de se déterminer.