ne les prend-on pas pour des modelles achevés, dont il est glorieux d’approcher ? […] Il est aisé de sentir dans son style un habitant de ce climat cynique, monté sur le ton de la causticité, par l’esprit qu’il y a pris. […] Sans prendre ici le ton de Prédicateur, est-il douteux que la médisance ne fasse de très-grands maux, & ne soit un grand péché ? […] Ce ton de causticité, qui est le ton du siecle, & que le siecle a pris au théatre, est celui de l’impiété regnante. […] Voilà la tournure qu’a pris l’irréligion dans tous les esprits depuis que l’école théatrale est fréquentée.