Le plaisir cruel qu’on prend à voir des exécutions, des désordres a quelque chose d’incroyable, qui répugne à l’humanité. […] Ses écrits sont défigurés par des négligences sans nombre ; sa mollesse voluptueuse ne prit jamais la peine de rien corriger. […] Il est des assemblées où chacun prend l’habit de quelque nation. […] Le parterre les hua, & par ses huées multipliées, les força de prendre un maintient plus honnête. […] On la prit pour le cadre d’une satyre ingénieuse de tant d’éloges d’hommes célebres dont nous sommes inondés ; c’est aujourd’hui le ton de la littérature.