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172. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

Comme votre dessein est de décrier les ouvrages de Moliere, vous vous en prenez à son chef-d’œuvre. […] En ce cas, la nature a pris soin de les dédommager de notre humeur altiere. […] J’ai suffisamment montré combien il est injuste en prouvant qu’il a pris sa source dans la crapule des Baladins. […] Ne prendront-ils jamais la bourse d’un fils prodigue ou d’un pere avare pour celle de Léandre ou d’Argan ?  […] Le plus excellent vin pris avec intempérance a souvent donné la mort comme le poison.

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