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75. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

Les muses, ces aimables et tendres sœurs, qui toujours avec la rapidité de l’éclair, fuient au premier bruit des désordres civils, les muses ont-elles pu jamais inspirer de si lugubres accents ? Comment dès son premier pas dans la noble carrière des Corneille et des Racine, l’auteur a-t-il osé calomnier et tenter de flétrir ce qui faisait l’objet de la juste vénération de ses modèles ! […] Rousseau va plus loin ; il soutient que le théâtre de notre premier comique est même une école de vices et de mauvaises mœurs. […] Que pouvait toute la puissance de l’éloquence en ces jours de deuil et de calamité, pour l’état ébranlé jusques dans ses premiers fondements ? […] Morlhon, au premier tome des œuvres de d’Aguesseau.

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