Le théâtre subsiste en entier : il est à bien des égards porté à un degré de perfection bien supérieur aux anciens théâtres, et malgré un vernis de politesse et de décence qu'on y a répandu, il ne mérite pas moins les anathèmes de l'Evangile, et l'horreur des gens de bien, que celui des premiers siècles. […] Après avoir ravi l'innocence au premier homme, le démon, rival de la Divinité, s'est rendu comme maître des créatures par le mauvais usage qu'il en fait faire.