/ 402
28. (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16

Ce n’est pas, mes frères, que nous prétendions faire l’apologie sans restriction de tout ce qu’on joue sur nos théâtres ; nous savons que les mœurs n’y sont pas toujours respectées. […] Quand le maître a dit que « la charité s’étendait à tout et à tous », pourquoi vos évêques prétendraient-ils la restreindre à quelques-uns ? […] Que prétendez-vous donc par vos lois prohibitives ? […] Il prétend que la profession de comédien servant au divertissement de l’homme, ne doit pas être défendue ; « qu’ainsi il est permis de vivre du gain de cet art. » (St Ant. 3 p. sum.

/ 402