Si on excluait de la comédie les rôles de femmes et les déguisements, qui sont défendus aux chrétiens ; elle serait réduite à si peu de sujets, et ces sujets seraient si éloignés du goût des spectateurs, qu’elle tomberait d’elle-même : car elle ne se soutient que parce qu’elle présente un bizarre assemblage du bien et du mal, et que le mal l’emporte de beaucoup sur le bien. […] Ainsi, les efforts qu’on a faits pour purger le théâtre n’ont abouti qu’à présenter aux âmes informes des appâts plus cachés et plus dangereux.