Le grand principe qui nous fait voir que Jésus-Christ condamne les divertissements mondains, est qu’il a ouvertement déclaré qu’il était impossible de se sauver sans porter sa croix, et sans imiter sa vie souffrante. Or est-ce porter sa croix, est-ce ressembler à Jésus-Christ crucifié, que d’être ornée comme une idole pour attirer les vaines adorations d’une infinité d’impudiques ? […] Et sa tête fut apportée dans un plat, et donnée à cette fille, qui la porta à sa mère.