. ; mais ces beautés sont noyées dans une foule de platitudes, de pensées fausses, de mauvais termes, de scénes languissantes, de déclamations d’écoliers, de fanfaronnades de Gascons, de bouffonneries de Tabarin ; &, ce qui est encore plus répréhensible, dans des équivoques licentieuses, des portraits obscènes, des sentimens passionnés, dans une galanterie séduisante, une morale pernicieuse, des exemples dangéreux, des appologies du vice, qui portent à la vertu de plus cruelles atteintes ; qu’au bon goût, aux belles-lettres, à l’art dramatique, rien n’est parfait, rien n’est véritablement grand au théâtre.