C’est-là qu’on apprend le libertinage, qu’on y trouve tous les dangers : de-là on le porte dans la société, & par un reflux inévitable, ce même libertinage entraîne au théatre, pour y trouver son aliment & se donner des complices. […] La description de son Palais, de sa cour, de son cortège, de ses jeux, de ses habits, de sa toilette, de ses équipages, des hommages qu’elle reçoit, des audiences qu’elle donne, des loix qu’elle porte, des jugemens qu’elle prononce, &c. forment une suite de tableaux amusans, ingénieux, très-vrais & instructifs, si la frivolité étoit capable d’instruction.