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326. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Je connais un Poète qui est en cela de meilleure foi que notre Théologien, il reconnaît que nos Spectacles attendrissent les cœurs, et qu’on y apprend à aimer ce qu’il serait à propos qu’on n’aimât point. […] Apparemment il était bien aise; et on n’a rien à lui dire puisqu’il en est si content : mais il voudra bien qu’on croie toujours qu’il est rare d’avoir des sentiments de Religion, et de ne pas trouver le stoïsme de nos Poètes graves, très injurieux au Christianisme, et les bouffonneries de nos Comiques, très contraires à la charité et à la chasteté Chrétienne.

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