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345. (1647) Traité des théâtres pp. -

aa passe l’aveu qu’il y en avait entre elles qui étaient honnêtes : De vrai si nous lisons les Tragédies de Sénèque entre les Latins, et celles de Sophocle ou d’Euripide entre les Grecs, elles sont graves, et pleines de belles Sentences, et de riches enseignements moraux. […] Que les Anciens Pères se sont écrié d’une commune voix contre les Théâtres Outre ce que les Synodes en déterminèrent ainsi en commun, les bons Serviteurs de Dieu s’employèrent çà et là, un chacun en son détroit, et de bouche et par écrit, à réprimer cette dissolution, de sorte que leurs livres en sont tous pleins.

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