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338. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Il faudra donc que nous passions pour honnêtes, les impiétés & les infamies, dont sont pleines les Comédies de Moliere ? […] Ce véritable homme de Lettres, cet Auteur plein de raison, de graces & de goût, cet Académicien du bon ton, (tom 8. de l’année Littéraire 1774.) en un mot, ce Poëte célébré, dont le Théatre François se glorifie d’avoir & de représenter les piéces, comme celles de Racine, de Corneille &c., ne vous sera pas plus favorable, Madame, que ceux, dont nous venons de parler.

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