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249. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Pendant que des personnes éclairées travaillent à perfectionner les Arts, à éclaircir les vérités essentielles, à faire triompher la Religion du libertinage, on voit des hommes hardis, remplis de l’esprit du Monde, ou pleins d’eux-mêmes, qui prennent le parti des sens et des passions, et fournissent ainsi des armes aux sensuels et aux superbes. […] Tout ce qu’on peut faire pour l’obliger, c’est de ne le point regarder comme Casuiste ni relâché, ni sévère, ni modéré ; et de croire ou ne croire pas « trahir la vérité », ni « blesser » personne, en voulant mettre celle de son ami dans « un plein repos » : mais que malheureusement il se trompe et qui pis est : qu’il semble aimer son erreur.

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