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598. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

Tout bien examiné : les Poèmes d’Eschyle et de Sophocle sont formés sur le plan de la vertu ; ces deux Tragiques savent allier l’innocence au plaisir, et tendent par le concert de l’utile et de l’agréable, à la perfection des mœurs. […] N’est-il point de plaisir pour nous, si nous n’insultons à la bonté de Dieu qui nous a créés, à son amour qui veut nous sauver, et à sa puissance qui peut nous perdre ?

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