Fréron convient que depuis son enfance Crébillon fut toujours un débauché livré à la fougue de toutes les passion, qu’il ne s’appliqua qu’à ses plaisirs, & n’eut que le génie tragique, sans aucune science ni vertu chrétienne (voilà un Censeur d’un grand poids). […] Le grand usage du spectacle doit être blâmé, même en le supposant un plaisir permis. […] La comédie est un plaisir très-vif. […] Que l’homme est ingénieux à se justifier l’usage des plaisirs !