» Cette discipline fut observée en France ; sans accumuler ici les autorités, il suffit de citer les Statuts Synodaux du Diocèse de Soissons de l’an 1561. non seulement on refusait la sépulture Ecclésiastique à ceux qui étaient morts sur la place, mais encore à ceux qui mouraient de leurs blessures : « De jure prohibentur, dit-on dans le titrede sepulturæ, qui torneamento exercendo in ipso et ex ipso exercitio moriuntur, aut ibidem etiam lethale vulnus, unde mors secuta sit, acceperunt. […] On revenait durant plusieurs jours à la charge, cela se faisait fort solennellement, et il en restait plusieurs sur la place. « Je parlai, dit ce Père12 , avec toute la force possible, pour arracher des cœurs de mes Auditeurs un penchant si cruel.