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368. (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143

ce n’est qu’en se mettant lui-même à la place du héros qu’il peint, du personnage qu’il représente : il faut donc qu’il s’échauffe vivement de cette idée, qu’il se frappe de l’action, qu’il en prenne les motifs, qu’il en conçoive les passions : quelle chaleur de génie tout cela ne demande-t-il pas.

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