En fin je trouve un quatrieme & dernier obstacle qui s’oppose parmi nous à la perfection de la Comédie ; c’est le défaut de liberté qui l’empêche d’exposer sur la scène les vices des grands & des gens en place, & qui la restreint à n’être utile qu’à la multitude. […] Le bon ordre régneroit donc à la place de la licence, & la vertu à la place du crime. […] Je n’entends pas par-là que la Comédie désigne en aucune maniere des gens actuellement en place, mais seulement qu’elle puisse leur présenter des modeles à suivre ou à éviter.