instruit La Mode des moyens de s’acquérir le Chapelain Bulle et lui dit : « Sur le pied qu’un Chapelain est aujourd’hui, il faut le gagner par de gros présents ; il a besoin d’argent, de bénéfices, de vin, etc. […] Et sur quel pied les Prêtres sont-ils dans ses Poèmes ? […] Ils auraient donc renoncé de sang froid à la gloire d’hommes savants et sages s’ils eussent maltraité les Prêtres ; ils auraient foulé aux pieds la Religion, et l’usage de tous les pays. […] Il faut être bien aveugle et bien ignorant pour fouler ainsi aux pieds et la raison et les règles de l’art. […] On me dira peut-être que tout le Clergé dans nos Comédies se borne à des Chapelains ; et que ces gens-là appartenant à des personnes de qualité, on peut bien les représenter sur le pied d’hommes à gages et de domestiques, sans y garder tant de mesures.