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292. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

Le Maîtrec Avocat du Roi pour lors, et qui fut depuis Premier Président, parlant dans cette occasion pour Monsieur le Procureur Général, à la requête duquel l’Arrêt fut rendu, remarqua entre autres choses, que l’on mêlait dans ces Comédies de piété des farces et des discours lascifs au commencement ou à la fin, pour attirer ou divertir le peuple, qui ne demande, dit-il, que ces sortes de folies et de voluptés.

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