ne suffit pas que le peuple ait du pain, et vive dans sa condition. […] » « Cela posé, que doit-on penser de ceux qui voudraient ôter aux peuples les fêtes, les plaisirs, et toute espèce d’amusement, comme autant de distractions qui le détournent de son travail32 ? » « Cette maxime est barbare et fausse ; tant pis si le peuple n’a de temps que pour gagner son pain, il lui en faut encore pour le manger avec joie. […] » « Voulez-vous donc rendre un peuple actif et laborieux ? […] Tu es Genevois, tu verras un jour d’autres peuples ; mais quand tu voyagerais autant que ton père, tu ne trouveras jamais leurs pareils.