Il châtia la vanité avec moins de succès, et le Bourgeois Gentilhomme n’a corrigé personne ; il faut s’en prendre à la nature rebelle d’une maladie si profondément enracinée dans le cœur des Français : jadis il y eut des Jourdains, nous en avons encore aujourd’hui, et on en trouvera toujours. […] Il n’y a personne qui n’aimât mieux être Zopire que Mahomet, et sans le respect de Voltaire pour les mœurs et la vertu, il aurait fait plus de Mahomet que de Zopire.