nous représentons sur nos théâtres les fureurs de Médée, les vices d’un grand nombre de personnes que l’on métamorphose en héroïnes et en héros, sans aucun égard pour la raison qu’elles n’ont jamais respectée ! […] Il ne conseille point d’y souffrir la jeunesse43, quoique de son temps on ne jouât pas des rôles de galanterie ; mais c’est que les passions de trahison et de vengeance pouvaient affecter les jeunes personnes.