Or moi, pour le débouter de ceste espérance et ne permettre que ce tort vous soit fait, j’ai donné au public ce contre écrit, qui témoignera aux peuples les plus éloignés ce qui est de la vérité, et que cet écrivain doit être condamné pour tel qu’il est, c’est-à-dire pour menteur, imposteur et calomniateur, sans aucune réserve de vergogne.