Ce n’est qu’une fanfaronnade, qu’un homme qui connoît si bien l’Angleterre ne se seroit pas permise, s’il eût aimé la vérité. […] S’il étoit permis de composer des mots, on pourroit dire de même, Moliere est un farcier qui porte des farces, Shakespear un tragédier qui produit des tragédies ; encore même ses fruits ne sont-ils pas bien mûrs : ils auroient encore besoin de quelque soleil.