/ 565
489. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415

Il y avait en outre des Places marquées où il n’était pas permis à tout le monde de s’asseoir ; ces Places étaient héréditaires dans les familles, & ne s’accordaient qu’aux Particuliers qui avaient rendu de grands services à l’Etat : les Grecs les nommaient Proedrias (premières Places), parce qu’elles étaient les plus apparentes, & les plus proches de l’Orquestre, La Scène, chez les Grecs & les Romains, se divisait en trois parties : la première & la plus considérable était proprement la Scène : c’était une grande façade de bâtiment, qui s’étendait d’un côté du Théâtre à l’autre, & sur laquelle se plaçaient les Décorations.

/ 565