Il dit que le jeu, le bal et la comédie sont des choses indifférentes : mais il est visible qu’il ne parle ainsi que par une pure tolérance ; il tolère, il souffre ces sortes de plaisirs, mais il ne les permet pas : il y a bien de la différence entre souffrir et permettre ; Dieu souffre même le péché, mais il ne le permet pas. […] une fille Chrétienne qui aura vécu dans la modestie, croyant qu’il lui est permis de prendre quelque chose d’extraordinaire, se met au hasard de se perdre. […] Il n’est pas permis de dire toutes choses ; mais il est certain que comme on y est libre, on y fait des déclarations qu’on n’oserait faire autre part, et dans ce malheureux commerce on forme des alliances qu’on entretient secrètement, et dans le cabinet.