Il n’est pas permis de peindre ce qu’il n’est pas permis de dire. […] Il n’est pas permis de peindre ce qu’il n’est pas permis de laisser voir. […] Voudroit-on se mettre à la place de l’image, dans le même état, l’un n’est pas plus permis que l’autre ; n’est-ce pas se dévoiler soi-même, que de se faire peindre sans voile ? […] Qu’on ne s’excuse pas, sous prétexte que ce sont de traits de l’Ecriture sainte, ou de la vie des Saints, l’immodestie n’est pas plus permise dans les images de dévotion, que dans les prophanes.