La mere perd sa fille, le mari sa femme, l’ouvrier ses pratiques. […] Voilà la racine de l’arbre, où il faut mestre la coignée ; c’est la parure des femmes qui achevera de les perdre elles-mêmes. Le seul goût de la parure, qu’elles inspirent, suffiroit pour les perdre, en les rendant effeminés, & frivoles à leur exemple. […] Etalant ce qu’il y a de dangéreux par la parure, elles deviennent le fleau du genre humain, & le perdent en détail. […] Il perd le trone & la vie & passe de l’élégance des parures aux horreurs du suaire & de la pouriture du tombeau.