Selon ce savant critique « le Théâtre perd à la suppression des chœurs, la continuité d’action, & un spectacle magnifique, qui sert à la soutenir, & qui est, pour ainsi dire, le fond ou l’acompagnement du tableau ». […] Peut-on mêler sa voix aux violons, sans perdre tout-à-fait de vûe ce qu’on vient d’entendre ? […] Il lui faut du tems pour se remettre dans la situation qu’il a perdue, & qui ne lui est pas moins nécessaire pour ressentir les impressions du jeu Théâtral, qu’à l’Acteur lui-même pour la produire.